"Cilaos se dévalue de jour en jour"
et "se dépeuple" depuis 2009 et en 10 ans -17% de population.
On
accuse la route d'être longue est difficile mais il faudra un
jour admettre que le choix de rester à CILAOS dépend
aussi du respect des lieux qui est en chûte libre du fait la
montée d'un mode de vie urbain dans les hauts, en plus des
hélicos qui "bouffent tout le bon de la matinée":
Dans un tel contexte vivre à Cilaos signifie être
isolé géographiquement sans la garantie de
tranquilité qui en valait la peine jadis. Il ne faut donc pas
être surpris de la perte de valeurs des biens imobiliers.
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Problèmes réccurents restant non résolus.
ÉTALEMENT HORAIRE EXCESSIF DES SURVOLS
D'AÉRONEF on sacrifie trop facilement la
matinée entière, rien n'est vraiment
décidé pour travailler sur ce problème: il
semble que "ça s'améliore" par moment (la crise des
Gilets Jaune et la dengue ont freiné cette nuisance
début 2019), et puis de façon reccurente, çe
"reccomence" ensuite à chaque caprice de prestataire ou de
client et à la moindre affulence touristique ça
déborde: seules les crises
sociales ou les crises économiques semblent avoir le
pouvoir de laisser les oiseaux chanter.
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MERDES-TOURISTES en augmentation depuis l'hiver 2018. Il
apparaît nettement que les merdes posées en forêts,
loin des routes, hors sentier sont corrélés aux vacance
de métropole et non à celles de la Réunion. Des
VAN de location permettent le campong-car, surtout au site de la Roche
Merveilleuse. Ils n'ont pas de sanitaire, il n'y a pas de chiottes,
alors c'est dans la nature, dans la parcelle en restauration où
c'est plus facile d'aller chier puisque il n'y a pas les longoses..
S'en plaindre fâche des voisins détruit des
relations. On laisse faire et cela est un aspect qui dégrade la
qualité de la vie à CILAOS et pourrait même
fortement déprécier l'immobilier: on est tassé
les uns contre les autres, on se gêne, mais on reste poli entre
voisins et on en subi les conséquences collectivement: un
problème sanitaire, tout simplement, que la collectivité
devrait gérer: les chiens non stérilisés se
multiplient, et les rejetons deviennent où chiens errant, ou
chiens en cage, hurlant à répétition voir en
continu jour et nuit.
TAPAGE:des
groupe électrogène + sono en lisière de
forêt: il faudrait allouer des lieux moins fragiles comme
exutoire de ces activité, et préserver de cela les lieux
les plus fragiles, si tant soit peu que cette fragilité est
recconue!
Trop souvent: le tapage nocturne en dehors des jours
où ça serait "normal", les week end ordinaires, ou la
semaine, voir en prolongation de périodes bruyantes quand le
repos devient encore plus important, On peut citer la teuff la nuit du
01 au 02 janvier rue des paquerettes qui a empêché les
riverains de récupérer des fêtes avant d'aller
travailler: dur!!!
BRACONNAGE - ceuillette et trafic de plantes sont en
train de bouleverser l'aspect des forêts et il devient affolant
de voir la différence en quelques mois quand on sait que ces
plantes mettent des dizaines d'années voir des siècles
à se reconstituer: on vend au marché les plantes
ceuillies en forêt comme si c'était cultivé et
normal, alors que c'est du pillage.